Ca marche parfaitement !JJM a écrit :Je vais faire un essai
Oui ! pour le type de branchement.a écrit :Tu reprends mon idée
Je résume le principe :
L’idée : un ventilateur brasse de l’air et, accessoirement, produit de la chaleur.
Dans mon premier montage la chaleur du ventilo était un inconvénient, je viens de le transformer en avantage.
On a besoin, à la fois, de chaleur et de brassage ; Puisque ce ventilo chauffe et brasse, je vais le brancher à la place de la résistance et je mets une consigne 25° avec démarrage à 24,9 et arrêt à 25,1 (un très petit écart). Le ventilo sera piloté par l’interrupteur du thermostat.
Avec ce petit écart, il va démarrer et s’arrêter très souvent (précédemment, il tournait en permanence).
Tant qu’il n’atteindra pas 25,1°, il tournera. Là le thermostat l’arrête et il n’y a plus aucun chauffage dans l’étuve.
La température ne peut que redescendre, et l’écart programmé étant tout petit, il redémarrera à 24,9° pour s’arrêter à nouveau à 25,1.
Mais, je ne jette pas à la déchetterie ma résistance dont la puissance a son utilité à trois moments ::
1. A la mise route de l’étuve pour arriver rapidement à la température de consigne, ;
2. Lorsqu’on met les ingrédients, un peu froid, pour les amener à 25° ;
3. Lorsqu’on fait le rafraîchi du levain et qu’il faut une consigne à 30°, et qu’on n’est pas à 3 degrés près.
Sur le schéma, on voit bien que ma résistance est encore pilotée par l’interrupteur du thermostat, mais que je peux la neutraliser grâce à un interrupteur. Je ne lui donne du jus que dans les 3 cas que je viens d’évoquer. Le reste du temps le thermostat ne gère que le ventilateur / chauffeur.
Le schéma un peu plus propre :